La directrice déjeune.

Guariaxa, la directrice, venait tous juste de se lever, il faisait beau, chaleureux, les oiseaux chantaient, les couloirs étaientt calmes, quoi de mieux ? Elle se dirigea vers la cafétaria, et avanca dans celle-ci. Elle y découvri le beau cuisinier dont elle aimait la facon de cuisiner, mais aussi son doux visage de playboy. Elle rougi comme a chaque échange de regard avec lui, prit un plateau et se servit parmis toutes les diversités de petit déjeuner qu'il y avait de proposer, la directrice prennait très soin a son corps, c'est donc pour cela qu'elle se contenta d'un jus d'orange et de quelques céréales. Elle rempli son bol de céréales de 1 centimètre et demi de lait, et commenca à déjeuner seule dans la cafétaria, écoutant le croquement de ses céréales qui se cassaient tendrement dans sa bouche. La directrice était surprise de voir le calme qu'il y avait dans l'école.

Alors que la directrice était en train de mâcher ses céréales, Hardolo était entré dans le réfectoire, puis s'était servi un bol de chocolat chaud, avec un bol de céréales/lait chaud, un verre de jus d'orange et une pomme. Il emmenait son plateau pour aller s'installer tout seul à une table lorsqu'il vit la directrice. Elle était seule. Il alla poser son plateau à côté d'elle. Il lui dit neutre et discontinue :

-Bonjour madame. Comment allez-vous aujourd'hui? Pas trop de travail?

Et il commença son petit déjeuner.

La directrice fut étonnée qu'un élève osa venir auprès d'elle,
mais elle fut assez contente de cela, il lui posa une question, mais
ayant la bouche pleine de céréales, la directrice mit sa main devant sa bouche de manière a faire comprendre au jeune homme qu'elle allait
répondre mais après avoir divinement fini d'avaler sa bouchée de céréales.
Quand elle eut fini d'avaler sa bouchée de cérales, elle répondit.

- Bonjour, je vais très bien, et non je n'ai aps trop de travail.

La directrice adressa un petit sourire à l'élève avant de lui demander son nom.

Hardolo, quant à lui, avait commencé à boire son chocolat chaud. Il se brûla mais ne le montra pas. Il avait trop peur que la directrice ne l'oblige à aller à l'infirmerie. Il s'étonna qu'elle n'ait pas beaucoup de travail et lui répondit :

-Je me nomme Hardolo Délèment. C'est vrai que vous ne devez pas vous souvenir d'un élève, vous en avez tellement. Mais, de moi, vous vous en souviendrez. Je serai le meilleur élève. Tout le monde connaîtra mon nom. Tout le monde sera fier de moi. Sauf mes parents.

°Je n'aurais pas dû dire ça°

La directrice ne vit pas que Hardolo se brûla, mais l'entendit a sa facon de parler, elle esquissa un rire lorsqu'il parla d'une facon très spéciale, où il disait qu'il serait le meilleur des élèves. Mais elle lui répondit a sa phrase.

- Ah bon ? elle rigola encore. Vous serez tous ça a la fois ! Et pourquoi vos parents ne seraient-ils pas content de vous si vous seriez le meilleur de l'école ? Si ce n'est pas trop indiscret jeune homme ...

Elle avait parlé de sa voix confiante, une voix qu'elle utilisait souvent pour consolé les gens, pour écouté leur problème, effectivement, le premier métier que la directrice aurait voulu être était psychologue, mais elle en a été enpechée par le mage qui lui avait expliquer la maitrise de l'eau. Mais aujourd'hui elle continue les cours grâce aux bouquins qu'elle avait.

°J'en était sûr. Je n'aurais pas dû lui parler de mes parents. Cette fouineuse va me renvoyer maintenant.°

Il était prêt à se lever pour ne pas répondre à cette question, mais préféra avaler une gorgée de jus d'orange pour réfléchir à son mensonge. Il n'en trouva pas. Il répondit donc honnêtement :

-Mes parents? Pourquoi ils ne seraient pas contents Tout simplement parce que... Disons... Ils veulent détruire l'humanité. Ce sont des sorciers noirs. C'est tout.

Sa conscience s'était soulagée d'un coup.

La directrice fut étonnée que le jeune homme se soit tant dévoilé, les jeune de son âge sont normallement sont pas très confiants et sont générallement renfermés sur eux-même, beaucoup de questions passaèrent dans la tête de la directrice, mais une passat plus souvent que toutes les autres, elle demanda alors cette question-là :

- Et alors, comment vivez où ? Avez-vous un tuteur ou une tutrice ?

La directrice avait de quoi s demander a propos du juene homme l'histopire que ses parents soient mâges noir ne l'ennuyait nullement !

Hardolo fut soulagé que la directrice ne se mette pas en colère à cause de son ascendance. Il sut alors qu'il pourrait lui faire confiance en toutes occasions. IL lui répondit donc :

-Ma vie? Dans les rues, sous les ponts, chez les personnes qui acceptaient de m'abriter... J'ai même vécu plusieurs mois chez Jujoss. Ses parents ont accepté de m'abriter. Et voilà que je la retrouve ici. Je n'y croyais pas. Et un tuteur ou une tutrice? Mes parents, car je pense que je peux pas changer de tuteur si mes parents sont encore en vie.

C'était ce qui désolait Hardolo. Les seules personnes qui étaient responsables de lui étaient ses véritables parents.

La directrice écouta avec patience le jeune Hardolo Délément, qui lui confia ses petits soucis et qui répondit concrètement à sa question. Elle réfléchit un instant et dit alors, après avoir trouvé une idée.

- Hardolo, si tu le désires, je veux bien me rendre a la commune d'Iléditérrannée, et demandé a ce que je sois ta tutrice, il n'est pas normal que tu sois obligé de vivre sous des ponts et des choses ainsi, tu ne peux pas rester tel que cela.

La directrice eut l'appétit coupé, elle se leva, prit son plateau, le déposa dans une étagère qui servait a placé les plateau vide, et elle prit une pomme par pure gourmandise, elle s'approcha de la table d'Hardolo, et lui dit :

- Je te laisse réfléchir a cela, vous pourrez me retrouver ici, dans le pârc, dans le hall, ou autre part, pour que l'on en rediscute.

Elle disparut par la porte, et sortitt de la cafétaria.

Hardolo fut abasourdi d'entendre que Guariaxa voulait bien devenir sa tutrice. Mais lorsqu'elle partit poser son plateau le laissant seul, il réfléchit, et quand elle lui glissa quelques mots, il avait déjà pris sa décision.

°Je rangerai mon plateau après. Je dois d'abord parler à Guariaxa.°

C'est pourquoi il laissa son plateau en place et courut après la directrice en lui criant de s'arrêter.

-Arrêtez-vous madame, arrêtez-vous, j'accepte votre proposition, je veux bien vous avoir comme mère.

La directrice s'arrêta et se retourna vers Hardolo qui courut vers elle,
elle lui fit comprendre de se calmer et de cesser de crier puis fini par lui dire:

- Très bien, je me rendrai à la mairie pour voir ce que je peux faire.
Désormais, ne dis pas encore de choses a propos de cela, tu serais humilié, et par la même occasion, ne crie plus dans la cafétaria ! Va ranger ton plateau maintenant !

Elle adressa un petit sourire pour finir par se retourner et achever sa route. Elle avait réagi très courtement pour une femme qui devenait dés lors mère.

Hardolo comprit avec joie que Guariaxa avait accepté de devenir sa mère. Mais il comprit également la difficulté qu'il y aurait à l'avoir en tant que mère et en tant que directrice. Il répondit donc, poliment :

-Oui, madame la directrice, je ne dois pas me faire remarquer. Ni crier. Ni faire connaître Vous-Savez-Quoi. Et je dois toujours ranger mon plateau. Sans quoi je pourrais être puni. D'accord, madame, j'ai compris.

Et il fila ranger son plateau.

===>Hardolo va dans le parc.